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Quelle découverte, cette argile malléable, qui se laisse manier, docile à la main !

C’est lors de mes pérégrinations en Afrique, Asie, Amérique du Sud et Amérique du Nord que j’ai rencontré ce matériau, la terre, qui se forme et se transforme : Quelle découverte, cette argile malléable, qui se laisse manier, docile à la main !

« Artisane-d’Art », c’est au Centre Bonsecours de Montréal (QC), que j’ai appris le métier de céramiste, cette formation m’a permis d’appréhender chaque étape de fabrication. De plus en plus, je m’aperçois que le travail de l’argile est un champ de libertés infinies et de voyage…Après l’obtention de mon diplôme en 1998, j’ai passé deux ans dans des ateliers partagés chez Heidi Schiemman et Guy Simoneau, au Québec, où j’ai pu pratiquer et surtout affirmer mes goûts, mes choix et mes envies en matière de création. Là j’ai commencé mes premières expositions aux salons des métiers d’arts de Québec et de Chicoutimi.

En 2001, de retour au pays, je partage l’atelier de Jocelyn Thumann en Auvergne. L’année suivante, je reprends et m’installe dans un atelier fermé depuis une quarantaine d’années, dotée d’un four type gallo-romain, je vais donc me lancer dans la céramique sigillée et gravée. Pendant cette décennie j’ai l’occasion de m’initier à la poterie africaine, en immersion dans différents pays d’Afrique de l’Ouest.

En 2011, je viens m’installer en Aveyron et je m’engage vers un public en situation de handicaps, je travaille comme monitrice d’atelier terre, en milieu institutionnel, ce qui me prédispose à faire une formation d’Art thérapeute.

En 2021, j’apprends la technique de jarre à la corde, cette méthode me décide à reprendre mon métier de céramiste et je m’installe dans mon nouvel atelier, dans la vallée du Lot (en Aveyron).

C’est lors de mes pérégrinations en Afrique, Asie, Amérique du Sud et Amérique du Nord que j’ai rencontré ce matériau, la terre, qui se forme et se transforme : Quelle découverte, cette argile malléable, qui se laisse manier, docile à la main !

« Artisane-d’Art », c’est au Centre Bonsecours de Montréal (QC), que j’ai appris le métier de céramiste, cette formation m’a permis d’appréhender chaque étape de fabrication. De plus en plus, je m’aperçois que le travail de l’argile est un champ de libertés infinies et de voyage…Après l’obtention de mon diplôme en 1998, j’ai passé deux ans dans des ateliers partagés chez Heidi Schiemman et Guy Simoneau, au Québec, où j’ai pu pratiquer et surtout affirmer mes goûts, mes choix et mes envies en matière de création. Là j’ai commencé mes premières expositions aux salons des métiers d’arts de Québec et de Chicoutimi.

En 2001, de retour au pays, je partage l’atelier de Jocelyn Thumann en Auvergne. L’année suivante, je reprends et m’installe dans un atelier fermé depuis une quarantaine d’années, dotée d’un four type gallo-romain, je vais donc me lancer dans la céramique sigillée et gravée. Pendant cette décennie j’ai l’occasion de m’initier à la poterie africaine, en immersion dans différents pays d’Afrique de l’Ouest.

En 2011, je viens m’installer en Aveyron et je m’engage vers un public en situation de handicaps, je travaille comme monitrice d’atelier terre, en milieu institutionnel, ce qui me prédispose à faire une formation d’Art thérapeute.

En 2021, j’apprends la technique de jarre à la corde, cette méthode me décide à reprendre mon métier de céramiste et je m’installe dans mon nouvel atelier, dans la vallée du Lot (en Aveyron).

C’est lors de mes pérégrinations en Afrique, Asie, Amérique du Sud et Amérique du Nord que j’ai rencontré ce matériau, la terre, qui se forme et se transforme : Quelle découverte, cette argile malléable, qui se laisse manier, docile à la main !

« Artisane-d’Art », c’est au Centre Bonsecours de Montréal (QC), que j’ai appris le métier de céramiste, cette formation m’a permis d’appréhender chaque étape de fabrication. De plus en plus, je m’aperçois que le travail de l’argile est un champ de libertés infinies et de voyage…Après l’obtention de mon diplôme en 1998, j’ai passé deux ans dans des ateliers partagés chez Heidi Schiemman et Guy Simoneau, au Québec, où j’ai pu pratiquer et surtout affirmer mes goûts, mes choix et mes envies en matière de création. Là j’ai commencé mes premières expositions aux salons des métiers d’arts de Québec et de Chicoutimi.

En 2001, de retour au pays, je partage l’atelier de Jocelyn Thumann en Auvergne. L’année suivante, je reprends et m’installe dans un atelier fermé depuis une quarantaine d’années, dotée d’un four type gallo-romain, je vais donc me lancer dans la céramique sigillée et gravée. Pendant cette décennie j’ai l’occasion de m’initier à la poterie africaine, en immersion dans différents pays d’Afrique de l’Ouest.

En 2011, je viens m’installer en Aveyron et je m’engage vers un public en situation de handicaps, je travaille comme monitrice d’atelier terre, en milieu institutionnel, ce qui me prédispose à faire une formation d’Art thérapeute.

En 2021, j’apprends la technique de jarre à la corde, cette méthode me décide à reprendre mon métier de céramiste et je m’installe dans mon nouvel atelier, dans la vallée du Lot (en Aveyron).