JARRES A LA CORDE

Cette méthode de travail me permet de réaliser des pièces volumineuses, d’explorer la surface et de travailler la matière, de laisser aller le geste.
C’est à l’aide de gabarit en bois autour duquel est enroulé une corde de chanvre. Ce gabarit, des « baleines » en bois sont emboitées autour de deux rondeaux crantés situés à chaque extrémité de la structure (dont l’un constituera le fond de la jarre). Une fois la pièce sur l’axe central du tour, la corde est enroulée du bas vers le haut sur ce gabarit qui est ensuite recouvert d’une couche régulière d’argile (grès rouges ou grès blanc). Cette opération terminée, la surface de la jarre est lissée à l’aide d’un estèque en bois. Après raffermissement de la terre et avant la cuisson, l’armature est ensuite démontée et retirée par le haut de la jarre. La corde sera à son tour enlevée, laissant son empreinte à l’intérieur de la pièce. Deux à cinq semaines de séchage sont nécessaires en fonction du volume d’argile employé et de la saison.

Poteries grandes tailles

Poteries non gélives

Mes pièces sont ensuite habillées de jus d’oxyde ou d’engobe vitrifiées à haute température, je crée et recherche moi-même mes différents engobes. C’est à ce moment-là que j’interviens pour laisser des traces ou empreintes, je peux polir et/ou graver ma pièce, et j’incruste des oxydes à l’intérieur de la terre pour obtenir des nouvelles et éclatantes nuances. C’est pourquoi la plupart de mes réalisations en grès rouge offrent un aspect métallique rouillé.

Toutes mes créations longilignes peuvent rester en extérieur sans risque de geler.
Toutes mes jarres sont cuites en mono-cuisson, dans un four à granulés de 450 litres, pendant 12 à 14 heures.

Je peux intervenir sur des expositions, marchés de potiers et autres pour animer une démonstration de jarre à la corde, sur une ou plusieurs journée.

Démonstration de
jarre à la corde

JARRES A LA CORDE

Poteries grandes tailles

Cette méthode de travail me permet de réaliser des pièces volumineuses, d’explorer la surface et de travailler la matière, de laisser aller le geste.
C’est à l’aide de gabarit en bois autour duquel est enroulé une corde de chanvre. Ce gabarit, des « baleines » en bois sont emboitées autour de deux rondeaux crantés situés à chaque extrémité de la structure (dont l’un constituera le fond de la jarre). Une fois la pièce sur l’axe central du tour, la corde est enroulée du bas vers le haut sur ce gabarit qui est ensuite recouvert d’une couche régulière d’argile (grès rouges ou grès blanc). Cette opération terminée, la surface de la jarre est lissée à l’aide d’un estèque en bois. Après raffermissement de la terre et avant la cuisson, l’armature est ensuite démontée et retirée par le haut de la jarre. La corde sera à son tour enlevée, laissant son empreinte à l’intérieur de la pièce. Deux à cinq semaines de séchage sont nécessaires en fonction du volume d’argile employé et de la saison.

Poteries non gélives

Mes pièces sont ensuite habillées de jus d’oxyde ou d’engobe vitrifiées à haute température, je crée et recherche moi-même mes différents engobes. C’est à ce moment-là que j’interviens pour laisser des traces ou empreintes, je peux polir et/ou graver ma pièce, et j’incruste des oxydes à l’intérieur de la terre pour obtenir des nouvelles et éclatantes nuances. C’est pourquoi la plupart de mes réalisations en grès rouge offrent un aspect métallique rouillé.

Toutes mes créations longilignes peuvent rester en extérieur sans risque de geler.
Toutes mes jarres sont cuites en mono-cuisson, dans un four à granulés de 450 litres, pendant 12 à 14 heures.

Démonstration de
jarre à la corde

Je peux intervenir sur des expositions, marchés de potiers et autres pour animer une démonstration de jarre à la corde, sur une ou plusieurs journée.

Jarres à la corde

Poteries grandes tailles

Cette méthode de travail me permet de réaliser des pièces volumineuses, d’explorer la surface et de travailler la matière, de laisser aller le geste.
C’est à l’aide de gabarit en bois autour duquel est enroulé une corde de chanvre. Ce gabarit, des « baleines » en bois sont emboitées autour de deux rondeaux crantés situés à chaque extrémité de la structure (dont l’un constituera le fond de la jarre). Une fois la pièce sur l’axe central du tour, la corde est enroulée du bas vers le haut sur ce gabarit qui est ensuite recouvert d’une couche régulière d’argile (grès rouges ou grès blanc). Cette opération terminée, la surface de la jarre est lissée à l’aide d’un estèque en bois. Après raffermissement de la terre et avant la cuisson, l’armature est ensuite démontée et retirée par le haut de la jarre. La corde sera à son tour enlevée, laissant son empreinte à l’intérieur de la pièce. Deux à cinq semaines de séchage sont nécessaires en fonction du volume d’argile employé et de la saison.

Poteries non gélives

Mes pièces sont ensuite habillées de jus d’oxyde ou d’engobe vitrifiées à haute température, je crée et recherche moi-même mes différents engobes. C’est à ce moment-là que j’interviens pour laisser des traces ou empreintes, je peux polir et/ou graver ma pièce, et j’incruste des oxydes à l’intérieur de la terre pour obtenir des nouvelles et éclatantes nuances. C’est pourquoi la plupart de mes réalisations en grès rouge offrent un aspect métallique rouillé.

Toutes mes créations longilignes peuvent rester en extérieur sans risque de geler.
Toutes mes jarres sont cuites en mono-cuisson, dans un four à granulés de 450 litres, pendant 12 à 14 heures.

Démonstration de
jarre à la corde

Je peux intervenir sur des expositions, marchés de potiers et autres pour animer une démonstration de jarre à la corde, sur une ou plusieurs journée.

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POTERIES AUX COLOMBINS

POTERIE AFRICAINE

« Avoir l’âme qui rêve, au bord du monde assise… »

Dernier vers de la vie profonde d’Anna de Noailles

À la suite de différents séjours en Afrique de l’Ouest, j’ai acquis la technique en colombins «des poteries africaines», technique primitive qui permet de créer des formes libres, et souvent jouer avec le volume et une expression. Et cela par le rythme du geste de la main, et de la danse de la terre. Mes pièces sont décorées aux engobes vitrifiées et cuites dans le four à granulés de bois.

{

Et pourquoi ce vers arrive au moment où je voudrais parler de la main, en commençant tout naturellement par la main de la potière et le geste du tournage qui donnera un objet qui n’existait pas avant, et qui naîtra de ses mains. Oui pourquoi ? Il suffit peu d’attendre… laisser faire, laisser venir « entre les doigts » les rapports qui se forment… La vie profonde aurait-elle des projets pour nous ?
Là où les mains sont impliquées, c’est tout le corps qui est engagé. Certes, nous sommes de la matière, mais une matière qui rêve, une matière qui imagine, qui pense, qui parle qui dit des mots doux.

POTERIES AUX COLOMBINS

POTERIE AFRICAINE

« Avoir l’âme qui rêve, au bord du monde assise… »

Dernier vers de la vie profonde d’Anna de Noailles

À la suite de différents séjours en Afrique de l’Ouest, j’ai acquis la technique en colombins «des poteries africaines», technique primitive qui permet de créer des formes libres, et souvent jouer avec le volume et une expression. Et cela par le rythme du geste de la main, et de la danse de la terre. Mes pièces sont décorées aux engobes vitrifiées et cuites dans le four à granulés de bois.

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Et pourquoi ce vers arrive au moment où je voudrais parler de la main, en commençant tout naturellement par la main de la potière et le geste du tournage qui donnera un objet qui n’existait pas avant, et qui naîtra de ses mains. Oui pourquoi ? Il suffit peu d’attendre… laisser faire, laisser venir « entre les doigts » les rapports qui se forment… La vie profonde aurait-elle des projets pour nous ?
Là où les mains sont impliquées, c’est tout le corps qui est engagé. Certes, nous sommes de la matière, mais une matière qui rêve, une matière qui imagine, qui pense, qui parle qui dit des mots doux.

POTERIES AUX COLOMBINS

POTERIE AFRICAINE

« Avoir l’âme qui rêve,
au bord du monde assise… »

Dernier vers de la vie profonde d’Anna de Noailles

À la suite de différents séjours en Afrique de l’Ouest, j’ai acquis la technique en colombins «des poteries africaines», technique primitive qui permet de créer des formes libres, et souvent jouer avec le volume et une expression. Et cela par le rythme du geste de la main, et de la danse de la terre. Mes pièces sont décorées aux engobes vitrifiées et cuites dans le four à granulés de bois.

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Et pourquoi ce vers arrive au moment où je voudrais parler de la main, en commençant tout naturellement par la main de la potière et le geste du tournage qui donnera un objet qui n’existait pas avant, et qui naîtra de ses mains. Oui pourquoi ? Il suffit peu d’attendre… laisser faire, laisser venir « entre les doigts » les rapports qui se forment… La vie profonde aurait-elle des projets pour nous ?
Là où les mains sont impliquées, c’est tout le corps qui est engagé. Certes, nous sommes de la matière, mais une matière qui rêve, une matière qui imagine, qui pense, qui parle qui dit des mots doux.

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POTERIE TOURNÉE

J’ai une petite production tournée, de bols et de théières en grès blanc ou porcelaine, émaillées d’émaux de cendres et de céladon, cuit au four à granulés de bois, en réduction.

émaux de cendre et céladon

Ah un bol d’air !!! Quoi de mieux qu’un bol d’air frais pour se revivifier, et repartir d’un bon pied ?… C’est dans la contemplation d’un lac que peut me venir cette sensation de bol, d’un grand bol tranquille ouvert sous le ciel, où l’on peut voir au-dedans les merveilleux nuages ou les milles soleils des rayons qui se reflètent dans les mouvements de l’eau, remuée par la brise qui passe… Le bol comme un corps qui écarte les bras pour laisser venir… Pour accueillir… Au sens large du mot, le bol pour moi n’est pas seulement un objet, mais une projection de mon ouverture au monde. Non seulement il me pousse aux contemplations, mais aussi aux méditations, à cette « forme » de pensée qui va souvent nous explorer au plus profond de notre être.

POTERIE TOURNÉE

J’ai une petite production tournée, de bols et de théières en grès blanc ou porcelaine, émaillées d’émaux de cendres et de céladon, cuit au four à granulés de bois, en réduction.

émaux de cendre et céladon

Ah un bol d’air !!! Quoi de mieux qu’un bol d’air frais pour se revivifier, et repartir d’un bon pied ?… C’est dans la contemplation d’un lac que peut me venir cette sensation de bol, d’un grand bol tranquille ouvert sous le ciel, où l’on peut voir au-dedans les merveilleux nuages ou les milles soleils des rayons qui se reflètent dans les mouvements de l’eau, remuée par la brise qui passe… Le bol comme un corps qui écarte les bras pour laisser venir… Pour accueillir… Au sens large du mot, le bol pour moi n’est pas seulement un objet, mais une projection de mon ouverture au monde. Non seulement il me pousse aux contemplations, mais aussi aux méditations, à cette « forme » de pensée qui va souvent nous explorer au plus profond de notre être.

POTERIE TOURNÉE

J’ai une petite production tournée, de bols et de théières en grès blanc ou porcelaine, émaillées d’émaux de cendres et de céladon, cuit au four à granulés de bois, en réduction.

émaux de cendre et céladon

Ah un bol d’air !!! Quoi de mieux qu’un bol d’air frais pour se revivifier, et repartir d’un bon pied ?… C’est dans la contemplation d’un lac que peut me venir cette sensation de bol, d’un grand bol tranquille ouvert sous le ciel, où l’on peut voir au-dedans les merveilleux nuages ou les milles soleils des rayons qui se reflètent dans les mouvements de l’eau, remuée par la brise qui passe… Le bol comme un corps qui écarte les bras pour laisser venir… Pour accueillir… Au sens large du mot, le bol pour moi n’est pas seulement un objet, mais une projection de mon ouverture au monde. Non seulement il me pousse aux contemplations, mais aussi aux méditations, à cette « forme » de pensée qui va souvent nous explorer au plus profond de notre être.

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